Joyce Jonathan fait partie de ces artistes qui ont le mérite de durer. Joyce Jonathan, tout le monde connait au moins une de ses chansons. « Ça ira », « Les filles d’aujourd’hui » , ce ne sont que quelques exemples. Elle en est déjà à son cinquième album, retour sur son dernier opus sorti le 11 mars.
« Les jolies p’tites choses », ce sont douze chansons. Avec des chansons toujours aussi fleuries, trouver son bonheur sera facile. Joyce Jonathan se montre épanouie, avec des chansons comme « Bonjour, au revoir » qui tire sur un coté un peu pop avec un refrain entêtant. L’album nous parle ainsi de pleins de petits moments de la vie, d’aller chercher le bonheur là où l’on ne l’attend pas.
Joyce Jonathan est constante, elle a un public de fidèles et a su rester elle-même pour faire ce qu’elle aime dans sa vie. On a pu voir lors d’un showcase qu’elle continue d’aimer ce qu’elle fait. Que ces chansons lui plaisent et nous a aussi, spécialement les chansons pop. « Bonjour, au revoir », « T’es beau, t’es beau », « On ne se refait pas », Joyce Jonathan propose aussi des chansons d’amour. Certaines marchent très bien, on pense ici à « Celui que j’aime. »
Mais la grande surprise de cet album c’est sa face B. Une collaboration jazz avec le trompettiste Ibrahim Maalouf. Cette deuxième partie s’oppose à la première et est plutôt déroutante pour un fan de Joyce Jonathan. « J’m’en vais pas » est surement la chanson la plus « Joyce Jonathan » du projet. C’est un projet que l’on attendait pas, mais la voix de Joyce Jonathan avec la musique d’Ibrahim Maalouf donne quelque chose de nouveau, un renouveau mélodique que l’on attendait pas.