Créée par Tristan Cano et Benoît Le Guein en 2014, OCNI est le fruit d’une alliance entre design culinaire et innovation alimentaire.
DEUX PROFILS, UNE RENCONTRE
Tristan Cano est originaire d’Alès et rêve de devenir chef. Il a fait ses études au Lycée Jean-Drouant de l’École Hôtelière de Paris. Durant son BTS Hôtellerie Restauration, il se spécialise en marketing. Une discipline qui lui permet d’allier l’univers de la gastronomie à ses appétences commerciales.
Né entre Amiens et Beauvais. Benoît Le Guein s’oriente très tôt vers l’univers de la cuisine. Il obtient son BEP au lycée hôtelier du Touquet. Ensuite, il retourne à Amiens pour passer son bac littéraire, avec une spécialisation en arts visuels. Il enchaîne avec une prépa d’art à Beauvais, avant d’intégrer les Beaux-Arts à Quimper. Une fois diplômé, il poursuit son parcours singulier avec une étape à Paris le temps d’obtenir un CAP de pâtisserie. Tout en travaillant pour divers prestataires de restauration. Puis, il intègre l’École Nationale Supérieure d’arts de Paris-Cergy, où celui qui se surnomme le « Savant Food » amorce des recherches entre art et cuisine. Des travaux qu’il va poursuivre en 2012 à l’ESAD de Reims, où il se forme au design culinaire aux côtés de Marc Brétillot.
Leurs routes se croisent enfin en 2013 à Paris. Tristan Cano décroche un stage au Purgatoire tandis que Benoît Le Guein est recruté pour réaliser les créations culinaires des événements organisés au Purgatoire. C’est alors le début d’un travail en commun qui sort de l’ordinaire.
UNE MARQUE INNOVANTE
Très vite, le duo s’aperçoit de sa compatibilité d’humeur, d’humour, de savoir et de savoir-faire. C’est lors de leur collaboration chez le traiteur Saveurs d’étoiles que leur vient donc l’idée de monter un projet commun.
Ils mettent alors tout en œuvre pour donner vie à leurs ambitions. Le duo a l’idée et l’envie de créer une entité commune. Une sorte de laboratoire pour tenter, tester, expérimenter, chercher, trouver, inventer, sortir des sentiers battus… La mission première consistait à concevoir des prestations culinaires singulières pour le secteur de l’événementiel.
À l’orée des années 2010, Tristan Cano et Benoît Le Guein imaginent et expérimentent leurs premiers Objets Comestibles Non Identifiés. Benoît Le Guein multiplie les essais et expériences avec l’agar-agar. Signe particulier de cette algue rouge : une fois réduite en poudre, elle gélifie la préparation à laquelle elle est intégrée. Ajoutons à cela son expérience durant son cursus avec du pain gélifié à râper. Et l’on obtient les prototypes de crayons à tailler pour assaisonner.
Premier produit OCNI commercialisé : un assaisonnement naturel et végétal en forme de crayon à tailler. En septembre 2021, un nouvel OCNI voit le jour : un condiment présenté sous la forme d’une bouteille à râper.
LES PRODUITS OCNI !
Quelques copeaux suffisent pour relever une assiette. C’est un geste ludique à table qui apporte non seulement une touche décorative à l’assiette, mais apporte également une saveur explosive au palais. Le crayon à assaisonner s’utilise plutôt à même la table que durant la préparation d’un plat, recommande le « Savant Food ».
Il parle d’un « geste en plus », une fois le repas servi : de quoi susciter la curiosité des convives, surprendre les uns, amuser les autres. Car le duo Cano-Le Guein aime décliner ses créations en récréations. Quant aux accords parfaits, les possibilités de créations sont nombreuses à partir des différentes saveurs développées, salées comme sucrées.
Nous avons bien entendu été intrigués par la marque OCNI et on a souhaité vous livrer notre ressenti ! C’est donc avec une grande gentillesse que la marque nous a envoyé quelques coffrets (3) de crayons d’assaisonnement : Ail noir fumé, Citron confit et enfin Cèpe.
NOTRE TEST DES PRODUITS OCNI !
On retrouve dans tous les coffrets d’assaisonnement : un crayon d’assaisonnement bio, son taille-crayon ainsi qu’une recette. Ses différents crayons végétaux bio apporteront une touche d’originalité à vos plats. On remarque bien la forme du crayon, l’odeur des différents ingrédients, le goût du vinaigre de cidre et le goût salé.
L’ail noir est fumé au bois de chêne, pour des saveurs plus intenses. C’est un incontournable de la cuisine japonaise, revisité avec l’ail blanc en provenance de la Drôme. Le crayon à l’ail noir fumé est assaisonné au vinaigre de cidre, jus de pomme, sel…
Le crayon d’assaisonnement aux cèpes a tout pour plaire. Un arôme naturel de cèpe, sel, associé au vinaigre de cidre, à la sauce soja…
Le crayon au citron confit est notre préféré. C’est un assaisonnement du futur. Avec une odeur de pâtisserie, vous auriez l’impression de manger un cookie au citron. Le crayon est aromatisé à l’aide de vinaigre de cidre, de purée de citrons…
Il suffit de tailler quelques copeaux sur un plat, pour lui donner un bon goût acidulé. Des saveurs parfaites à associer aux légumes marinés, aux alternatives au poisson, à la cuisine orientale… Un crayon entier contient jusqu’à 120 copeaux.
Conclusion :
Vous l’aurez compris, les crayons d’assaisonnement OCNI ont réussi le test avec d’excellents résultats ! Ils nous ont encore plus donné l’envie de découvrir les autres produits de la marque. Quant à la production, tout est réalisé à Alès, selon une recette artisanale « 100 % naturelle et végétale ». Du « made in France » jusqu’aux emballages recyclables, imprimés à Millau.
Aujourd’hui, les crayons à tailler sont disponibles dans plus de 500 points de vente en France (chez Nature & Découvertes, en épiceries fines, concept stores, commerces de bouche…). Ils sont également vendus en ligne sur le e-shop d’OCNI. Des exportations sont assurées en Belgique, au Luxembourg, au Pays-Bas ou encore au Japon.
Voici une courte vidéo de présentation de la marque :