Ubisoft et sa maison d’édition française, les Deux Royaumes, se lancent dans une nouvelle série BD avec Assassin’s Creed Conspirations, une aventure au cœur de la Seconde Guerre Mondiale.
Scénarisé par Guillaume Dorison et illustré par Jean-Baptiste Hostache, le tome 1 « Die Glocke » est disponible dès maintenant en librairie au prix de 13,50€.
L’histoire se déroule à Londres, en septembre 1940. Eddie Gorm, ancien héros de guerre britannique, vit sa vie de dockers. Alors que Londres n’est pas encore concernée par le conflit, Eddie et ses gars sont les maitres de l’East-End, le quartier le plus pauvre de la ville. Tout bascule pour Eddie quand le Colonel Boris Pash de l’armée Américaine lui demande de reprendre service pour empêcher le programme nucléaire nazi. Pourquoi Eddie ? Sans doute parce qu’il est le dernier membre de la confrérie des Assassins. Eddie refuse. Au même moment l’aviation Allemande bombarde Londres : c’est le 7 septembre 1940 et le début du Blitz. Le dernier Assassin Eddie Gorm ne pourra pas échapper à son destin.
Assassin’s Creed Conspirations représente deux ans de travail et de communication entre l’équipe d’Ubisoft et les deux auteurs. Guillaume Dorison raconte :
« Dans une bande dessinée, si on ne peut pas contrôler un personnage avec un pad, en revanche, on peut entrer dans son intimité, ses pensées, le mettre en danger. Cela a été l’occasion pour nous de développer la conscience de l’Assassin. Que se passe-t-il dans la tête d’un Assassin en devenir ? Je souhaitais partager ma vision rêvée de l’Assassin, une version bien plus sombre que dans le jeu vidéo, surtout dans le traitement du personnage. »
« Pour moi, l’identité d’Assassin’s Creed, c’est le mélange de réalisme historique très ancré dans notre culture, avec le fait de magnifier le rôle du personnage à la destinée héroïque propre à la culture du Comics. Pour une bande dessinée type franco-belge, il nous a paru naturel d’explorer plus avant les problématiques historiques, l’aspect infiltration, les niveaux de conscience et de manipulation et de flirter avec les visions plus dures, moins romanesques et même carrément moins romantiques que nous offrait Assassin’s Creed », complète Jean-Baptiste Hostache.
Assassin’s Creed c’est plus de 100 millions d’unités vendues dans le monde et une série qui s’est établie sur une authentique « mythologie ». Avec une telle matière et un univers étendu en pleine construction, de nouveaux personnages et intrigues inédites sont possibles. L’équipe d’Ubisoft s’est assurée que les codes de la série soient fidèle à l’univers d’Assassin’s Creed.
« L’équipe Assassin’s Creed a eu le plaisir de travailler avec les auteurs de la bande dessinée très en amont. Il est primordial que chaque projet soit indépendant, de qualité, et nous faisons tout pour que les récits que nous créons soit cohérents, aient du sens et enrichissent la licence. » témoigne Aymar Azaizia, Directeur Marque Assassin’s Creed. « Le résultat final est une œuvre avec un ton unique, un sujet mature et original, traité avec la patte Assassin. Cela a été un vrai bonheur de suivre ce projet. Tout le monde a pris beaucoup de plaisir lors de sa création, et je pense que cela se ressent à la lecture. »