Les japonais sont friands de sport. Cela se retranscrit dans l’animation, car des mangas qui ont pour trames narratives le sport, il en existe une flopée. Football, basket, boxe ,volley-ball… Bref vous l’aurez compris, le sport fait partie intégrante de la japanimation. Le manga Ahiru no sora ajoute sa pierre à l’édifice en traitant de basket ball. Cependant, il arrive à le faire de manière efficace et très optimiste.
De quoi ça parle ?
« L’histoire commence avec la rencontre entre Sora Kurumatani et Chiaki Hanazono qui lui demande quelque chose à manger. Après une discussion, Sora part à son nouveau au lycée et va dans le gymnase pour jouer au basket, mais il se rend vite compte que le club de basket n’est qu’un ramassis de racailles qui ne veulent pas y jouer. Comment faire pour construire son équipe et motiver les élèves ? »
Comme nous l’avons évoqué plus haut, la japanimation est remplie de mangas de sport. Il est donc dur d’innover et de révolutionner le genre. Ahiru no sora ne se prétend pas révolutionnaire, mais n’en demeure pas moins efficace. Entre rires et match endiablé, les personnages sont très attachants et donnent envie de se surpasser tant ils mouillent le maillot sur le terrain.
Un manga optimiste
Le personnage principal, Sora Kurumatani, est très talentueux ballon en main mais il a un « handicap ». En effet, il est de très petite taille, le comble pour un basketteur. Souvent sous-estimé par ses adversaires, il arrive à tirer son épingle du jeu en faisant parler sa technique et son shoot. A travers ce personnage, l’anime nous démontre une véritable leçon de positivisme. A l’image de Sora, il faut savoir transformer les faiblesses en forces.
De plus, Ahiru no sora promeut le dépassement de soi grâce aux sports. Tous les membres de l’équipe, avec leur caractères différents, arrivent à s’entendre autour d’un intérêt commun : faire gagner l’équipe.
Souvent comparé
Au même titre que chaque nouveau talent de l’équipe de France de football est comparé à Zidane, chaque manga de basket est comparé au chef-d’oeuvre du genre : Slam Dunk. En effet, l’oeuvre de Takehiko Inoue est si culte qu’on cherche souvent (à tort) à lui trouver un successeur.
En effet, sans pour autant tomber dans la copie, Ahiru No sora s’inspire de son aîné de part son réalisme sportif, contrairement à Kuroko no Basket, mais aussi par son côté Slice of life. De plus, dans le manga Ahiru no sora, on peut y voir un personnage qui lit le manga Slam Dunk. Un bel hommage qui vient boucler la boucle.
Actuellement diffusé sur la plateforme Crunchyroll, l’anime comptabilise 39 épisodes. Si vous êtes à la recherche d’un manga feel-good pour cet été, Ahiru no sora vous comblera sans l’ombre d’un doute. Et qui sait ? Peut-être qu’il révélera en vous des talents cachés de basketteur !