Critique de La prophétie des abeilles

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« Au moment où la chenille voit venir sa fin, elle se transforme en papillon. »

René dicte ce qui sera son avenir à un Templier par la méthode de l’hypnose régressive.

Je n’émettrai pas ma critique habituelle avec cet auteur qui est qu’il itérait à l’envi car cette fois-ci, Bernard Werber étrenne : anecdotes, maximes, faits scientifiques ; tout y est inédit si ce n’est sa nouvelle idée fixe depuis qu’il l’a expérimenté, c’est-à-dire cette nouvelle pratique qui consiste à visiter ses vies antérieures en ayant recours à l’hypnose. Le roman est bouffi de péripéties intrépides. Le livre est merveilleusement didactique car il continue à nous instruire sur l’histoire notamment celle des Hébreux à la manière de l’Encyclopédie du savoir relatif et absolu dans ses autres romans. Néanmoins, si l’on accorde aisément du crédit à sa dystopie infernale et apocalyptique, c’est une autre histoire de son utopie idyllique finale.