La voilà, celle que nous attendions toute depuis l’annonce du remake. La bande-annonce du Roi Lion est sortie en fin de semaine dernière et a particulièrement été relayée sur les réseaux.
Réalisé par Jon Favreau, ce nouvel opus s’inscrit dans la politique de Disney de refaire tous leurs dessins animés. Le scénario reste le même, on retrouve tous les personnages présents dans la version de 1994. On retrouve des plans identiques à la bande-annonce de 1994. En effet les deux bandes-annonces se ressemblent en tout point.
Petit rappel du synopsis : Au fond de la savane africaine, tous les animaux célèbrent la naissance de Simba, leur futur roi. Les mois passent… Simba idolâtre son père, le roi Mufasa, qui prend à cœur de lui faire comprendre les enjeux de sa royale destinée. Mais tout le monde ne semble pas de cet avis. Scar, le frère de Mufasa, l’ancien héritier du trône, a ses propres plans. La bataille pour la prise de contrôle de la Terre des Lions est ravagée par la trahison, la tragédie et le drame, ce qui finit par entraîner l’exil de Simba. Avec l’aide de deux nouveaux amis, Timon et Pumbaa, le jeune lion va devoir trouver comment grandir et reprendre ce qui lui revient de droit…
Pour cet opus, peu de chances que le réalisateur ait pris des libertés avec le scénario. Peu importe que le film soit un copier-coller du dessin animé, il ravira les petits et les grands.
Il s’agit ici d’un très gros pari pour Disney car c’est une des histoires les plus chères au cœur des spectateurs. Les studios avaient également fait confiance à Jon Favreau pour l’adaptation du Livre de la Jungle.
Cette nouvelle version en live action envoie du lourd. Sur le plan technique, la bande-annonce en version 3D est impressionnante. Les scènes s’enchaînent de façon spectaculaire et nous livrent un spectacle à en couper le souffle.
Le casting, quant à lui, fait rêver. On retrouve : Childish Gambino pour la voix de Simba, Beyoncé pour Nala, James Earl Jones reprend sa place pour Mufasa, Chiwetel Ejiofor pour Scar et Seth Rogen pour Pumbaa, Billy Eichner pour Timon et Eric André pour Ed.
Alors évidement rien de nouveau ici, mais a-t-on besoin d’une raison pour retourner voir ce chef-d’oeuvre ?
