Louis Arlette dévoile un premier extrait de son maxi : Jeux d’or et son clip troublant. Talent à suivre de la chanson moderne.
Louis Arlette est un musicien sur qui il va falloir compter. Erudit, distingué, charismatique, ce jeune musicien de trente ans se lance en solo après d’être nourri artistiquement de mille façons. En studio d’abord. Etudiant à la faculté de Paris 8 en musicologie, Louis Arlette a poursuivi ses études dans une école d’ingénieur du son, la SAE qui l’a amené à travaillé en studio avec des célèbres artistes. « Au début j’étais l’assistant, sur les sessions de Love 2 de Air tout d’abord, puis j’ai mixé le suivant Le Voyage Dans La Lune. Dix ans plus tard, Louis accompagne toujours Nicolas Godin et a mixé récemment son disque solo sorti l’année dernière. »
« Entre temps, j’ai aussi travaillé sur de nombreuses publicités avec Jean-Paul Goude, pour Chanel, Kenzo, H&M, plusieurs défilés de mode… Soit avec eux, soit de mon côté en tant qu’ingénieur du son ou réalisateur. Au final j’ai eu raison de reprendre mes études, cette école m’a amené les contacts que je recherchais. Mes meilleurs souvenirs restants ce concert hommage au Velvet Underground avec Nigel Godrich, les Hot Rats (groupe de Gaz Coombes et Danny Goffey) et Feist où j’ai joué du violon sur scène, et une séance en studio avec Thom Yorke et Nigel Godrich…».
Ainsi sort aujourd’hui le premier maxi sur les labels Note a Bene / Le Bruit Blanc, recueil poétique de titres solidement établi sur des sons électro-acoustiques innovants. La chanson de Louis Arlette montre la voie vers une modernité savante et de qualité comme le fait aujourd’hui Chassol par exemple. A voir sur scène bientôt, espérons-le !